Chapelle de la Congrégration - vestiges
Site et monument historiques
,
Chapelle
,
Ruines et vestiges
à Le Faouët
-
Cette chapelle datait de 1715. Elle a été construite à la demande d’Irène de Tinténiac et du Seigneur du Faouët Gabriel de Kergorlay, époux de Marie-Claude du Fresnay. Une plaque de métal retrouvée lors de la démolition de cette chapelle en atteste (« En perpétuel souvenir, le très noble et très illustre seigneur Gabriel-Claude de Guergorlay, marquis du Cludon, et de la très noble et très illustre Irène de Tinténiac, Dame de Quimerc’h, ont élevé ce monument, en signe de piété, en l’an du Seigneur 1715. »). Cette chapelle, dédiée à Notre-Dame de la Nativité, doit son nom à une congrégation d’hommes (association de religieux) qui s’y réunissaient périodiquement.
-
A l’époque, cette chapelle s’adossait à des constructions plus anciennes, parmi lesquelles l’Auditoire (tribunal) de la Seigneurie et la prison du Faouët.
Au cours de son existence, elle a souvent servi de relais à l’église paroissiale pour des réunions de confrérie, de catéchisme et certaines autres cérémonies religieuses.
Après un peu plus de deux siècles d’existence, suite aux dégradations liées aux intempéries et au manque d’entretien, la municipalité a dû détruire ce qui restait de...A l’époque, cette chapelle s’adossait à des constructions plus anciennes, parmi lesquelles l’Auditoire (tribunal) de la Seigneurie et la prison du Faouët.
Au cours de son existence, elle a souvent servi de relais à l’église paroissiale pour des réunions de confrérie, de catéchisme et certaines autres cérémonies religieuses.
Après un peu plus de deux siècles d’existence, suite aux dégradations liées aux intempéries et au manque d’entretien, la municipalité a dû détruire ce qui restait de cette chapelle délabrée par mesure de sécurité. En attestent les archives paroissiales dans lesquelles il est écrit : « le lundi 3 mars 1952, toute la charpente s’effondrait vers 10h du matin, entraînant avec elle toute la toiture entre les quatre murs qui seuls demeurèrent debout… » et en 1953, il est écrit « la pioche des employés communaux a achevé ce que les intempéries et de longues années d’abandon avaient bien commencé ».
Actuellement il ne reste que le mur pignon de la face Est, ainsi que la croix qui était située autrefois près de la porte d’entrée du mur sud et que l’on a placée devant ce mur pignon.
Prestations
-
-
Services
-